Je n’ai besoin de rien - Teatro Libero Palermo

Nous pensons l’économie et le monde du travail comme une série de nombres, de statistiques, de diagrammes de flux. Entre les années quatre–vingt du XX siècle et les dix premières années de notre siècle, le PIL par rapport aux bénéfices de l’entreprise a gagné 8 points, c’est-
à-dire 120 milliards d’EUROS par année. Une richesse aboutie en profits et non pas en salaires, inégalité de revenu qui s’est élargie énormément, et revenus des travailleurs tombés en chute libre. Quelle humanité et quel coût humain se cachent derrière l’écart d’une société
qui a défini le concept de travail et de valeur en termes de comptabilité sociale? Pour répondre à cette question Manlio Marinelli nous offres un texte parcourant la pensée de Karl Marx – dans le spécifique celle de ses Œuvres philosophique juvéniles – sur les intrigues d’un polylogue qui sonde l’humanité, aliénée e souffrante en silence, de la société dans lequel se joue la plus formidable boucherie existentielle des cinquante dernières années.

De Manlio Marinelli.

TYPOLOGIE

• Littérature